"Ecoutons cet éloge de Michel Jourdan par Yves Bonnefoy : « Une dimension manque à la poésie française. Et c’est pourquoi je trouve de l’importance à ce qu’écrit Michel Jourdan, et voudrais contribuer à attirer l’attention sur son oeuvre où un possible s’ébauche. Parmi les écrivains qui ont cherché de nos jours à tirer des enseignements de la philosophie taoïste, cet auteur est en effet un de ceux qui l’aura tenté de la façon le plus rigoureuse. » Il s’agit là de la préface au Journal du réel gravé sur un bâton. Et Bonnefoy conclut par ce souhait : « Je veux penser qu’au moins Le Journal du réel gravé sur un bâton sera lu ; et qu’on reconnaîtra que c’est un des livres, il en est peu, qui ont, aujourd’hui encore, souci de la vérité. » De ces Bouteilles à la mer d’un ermite migrateur, qui sont la suite de cette même entreprise de vie et d’écriture, rigoureuse et obstinée, que mène Michel Jourdan depuis toujours,on ne saurait dire mieux. Petit manuel du contemplatif volontaire, Kaïvalya, le rivage de l’isolement libérateur, L’enseignement de l’Inde du Sud, telles sont les trois parties de ce nouveau journal de bord. Où l’on retrouve bien des références familières aux éditions Arfuyen, de Henri Le Saux à Jean de la Croix, de Plotin à Bashô, des Upanishad à Ramana Maharshi..."
"Ecoutons cet éloge de Michel Jourdan par Yves Bonnefoy : « Une dimension manque à la poésie française. Et c’est pourquoi je trouve de l’importance à ce qu’écrit Michel Jourdan, et voudrais contribuer à attirer l’attention sur son oeuvre où un possible s’ébauche. Parmi les écrivains qui ont cherché de nos jours à tirer des enseignements de la philosophie taoïste, cet auteur est en effet un de ceux qui l’aura tenté de la façon le plus rigoureuse. » Il s’agit là de la préface au Journal du réel gravé sur un bâton. Et Bonnefoy conclut par ce souhait : « Je veux penser qu’au moins Le Journal du réel gravé sur un bâton sera lu ; et qu’on reconnaîtra que c’est un des livres, il en est peu, qui ont, aujourd’hui encore, souci de la vérité. » De ces Bouteilles à la mer d’un ermite migrateur, qui sont la suite de cette même entreprise de vie et d’écriture, rigoureuse et obstinée, que mène Michel Jourdan depuis toujours,on ne saurait dire mieux. Petit manuel du contemplatif volontaire, Kaïvalya, le rivage de l’isolement libérateur, L’enseignement de l’Inde du Sud, telles sont les trois parties de ce nouveau journal de bord. Où l’on retrouve bien des références familières aux éditions Arfuyen, de Henri Le Saux à Jean de la Croix, de Plotin à Bashô, des Upanishad à Ramana Maharshi..."