"Texte intégral dans la traduction de Port-Royal (1667). Préface de Gérard Pfister.
Texte de l´éditeur :
Parmi les successeurs de Maître Eckhart, la postérité a opéré une fâcheuse rupture entre ses disciples directs, les théologiens Suso et Tauler, et ses héritiers spirituels, les moines Gerlac et Thomas a Kempis. Profondément marqué par la mystique eckhartienne, Gerlac la met en pratique avec une extraordinaire radicalité. Les « Soliloques enflammés avec Dieu » constituent l’oeuvre unique de ce maître spirituel à demi aveugle, mort à l’âge de 33 ans : non pas l’un de ces innombrables traités produits par la mystique rhéno-flamande, mais une sorte de « journal spirituel », composé de réflexions et de méditations notées sur des feuillets au fil des jours. Traduit pour la première fois en français en 1667, ce chef-d’oeuvre de la spiritualité rhéno-flamande n’a pas été republié en France depuis 1936. Il est donné ici dans la traduction de 1667, dite « de Port-Royal »."
"Texte intégral dans la traduction de Port-Royal (1667). Préface de Gérard Pfister.
Texte de l´éditeur :
Parmi les successeurs de Maître Eckhart, la postérité a opéré une fâcheuse rupture entre ses disciples directs, les théologiens Suso et Tauler, et ses héritiers spirituels, les moines Gerlac et Thomas a Kempis. Profondément marqué par la mystique eckhartienne, Gerlac la met en pratique avec une extraordinaire radicalité. Les « Soliloques enflammés avec Dieu » constituent l’oeuvre unique de ce maître spirituel à demi aveugle, mort à l’âge de 33 ans : non pas l’un de ces innombrables traités produits par la mystique rhéno-flamande, mais une sorte de « journal spirituel », composé de réflexions et de méditations notées sur des feuillets au fil des jours. Traduit pour la première fois en français en 1667, ce chef-d’oeuvre de la spiritualité rhéno-flamande n’a pas été republié en France depuis 1936. Il est donné ici dans la traduction de 1667, dite « de Port-Royal »."