Les enseignements que donne ici Philippe Coupey, maître zen dans la lignée de Taisen Deshimaru, consistent en commentaires de deux écrits japonais du 13eme siècle.
Le Sansho Doei, recueil de poèmes composés par Dogen Zenji entre 1245 et 1253 et le Komyozo Zanmai écrit en 1278 par son disciple et successeur Koun Ejo. La répétition et le commentaire des « dits des anciens » relèvent d’un genre que l’école zen cultive depuis les temps les plus reculés. Ce genre constitue le mode par excellence de transmission des enseignements fondamentaux, l’actualisation, sans cesse renouvelée, de la tradition.
Il s’agit donc, on l’aura compris, d’un message qui relève de toute autre chose que de l’érudition et n’est pas destiné à enrichir notre bagage intellectuel, mais notre vie spirituelle : « Car les mots peuvent être efficaces s’ils viennent du non-personnel, du non-soi, et s’ils sont écoutés, entendus par le non-soi », écrit Philippe Coupey dans ses commentaires du Komyozo Zanmai.
Les enseignements que donne ici Philippe Coupey, maître zen dans la lignée de Taisen Deshimaru, consistent en commentaires de deux écrits japonais du 13eme siècle.
Le Sansho Doei, recueil de poèmes composés par Dogen Zenji entre 1245 et 1253 et le Komyozo Zanmai écrit en 1278 par son disciple et successeur Koun Ejo. La répétition et le commentaire des « dits des anciens » relèvent d’un genre que l’école zen cultive depuis les temps les plus reculés. Ce genre constitue le mode par excellence de transmission des enseignements fondamentaux, l’actualisation, sans cesse renouvelée, de la tradition.
Il s’agit donc, on l’aura compris, d’un message qui relève de toute autre chose que de l’érudition et n’est pas destiné à enrichir notre bagage intellectuel, mais notre vie spirituelle : « Car les mots peuvent être efficaces s’ils viennent du non-personnel, du non-soi, et s’ils sont écoutés, entendus par le non-soi », écrit Philippe Coupey dans ses commentaires du Komyozo Zanmai.