Achille, Énée, Ulysse continuent à nous parler. Pourquoi les mythes résistent-ils au temps qui passe, comme une nappe profonde qui continue d´irriguer notre imaginaire, par delà les strates des périodes historiques ? Tout récemment, les avancées des neurosciences ont permis de constater que voir et imaginer activent les mêmes zones de notre cerveau. À travers ses récits, le mythe peut alors se définir comme une mise en miroir des dynamismes organisateurs de l´imaginaire humain : quand nous imaginons les héros grecs, c´est nous-mêmes qui nous mettons en jeu.
Achille, Énée, Ulysse continuent à nous parler. Pourquoi les mythes résistent-ils au temps qui passe, comme une nappe profonde qui continue d´irriguer notre imaginaire, par delà les strates des périodes historiques ? Tout récemment, les avancées des neurosciences ont permis de constater que voir et imaginer activent les mêmes zones de notre cerveau. À travers ses récits, le mythe peut alors se définir comme une mise en miroir des dynamismes organisateurs de l´imaginaire humain : quand nous imaginons les héros grecs, c´est nous-mêmes qui nous mettons en jeu.