« Pour vivre, il faut le maximum et non le minimum. Pour penser l´homme, il faut également le maximum et non le minimum. [...] Il y a quelque chose non seulement de royal mais de divin en lui. La pensée grecque en a eu conscience en honorant ceux qui, comme les sages et les héros, étaient capables de devenir les égaux des dieux. Dans les Évangiles, c´est ce qu´enseigne le Christ quand il lance à ceux qui veulent le lapider parce qu´il se dit fils de Dieu : "Vous êtes des dieux." »
Dans ce texte enthousiasmant et libérateur, à la lisière de la philosophie et de la haute spiritualité, Bertrand Vergely nous invite à prendre pleinement conscience de notre vocation à ce que la tradition orthodoxe appelle la theosis, la déification. La vie divine n´est pas une abstraction lointaine mais la substance même de notre vie véritable, celle que nous sommes appelés à expérimenter ici et maintenant - la vie en plénitude qu´avaient pressentie tous les grands esprits et que tous, qui que nous soyo
« Pour vivre, il faut le maximum et non le minimum. Pour penser l´homme, il faut également le maximum et non le minimum. [...] Il y a quelque chose non seulement de royal mais de divin en lui. La pensée grecque en a eu conscience en honorant ceux qui, comme les sages et les héros, étaient capables de devenir les égaux des dieux. Dans les Évangiles, c´est ce qu´enseigne le Christ quand il lance à ceux qui veulent le lapider parce qu´il se dit fils de Dieu : "Vous êtes des dieux." »
Dans ce texte enthousiasmant et libérateur, à la lisière de la philosophie et de la haute spiritualité, Bertrand Vergely nous invite à prendre pleinement conscience de notre vocation à ce que la tradition orthodoxe appelle la theosis, la déification. La vie divine n´est pas une abstraction lointaine mais la substance même de notre vie véritable, celle que nous sommes appelés à expérimenter ici et maintenant - la vie en plénitude qu´avaient pressentie tous les grands esprits et que tous, qui que nous soyo