Mehr est un dieu né en Iran, dans la chaîne du Zagros, cette barrière acérée où s’achève la Mésopotamie. Dieu difficile à débusquer, ayant porté un autre nom à l’origine, puis quelques autres ensuite. Un nom facile à retenir, exprimant par sa prononciation un dieu viril, voire agressif, foncièrement masculin. Un de ces noms du premier langage de l’humanité, monosyllabiques, vibrants, percutants.
Sa première mention remonte à 1340 avant notre ère. Il est né dans une grotte, un 25 décembre, fut entouré par des bergers, une étoile guida les rois mages, il accomplit des miracles, un sacrifice, s’envola vers les cieux… et l’Histoire l’a oublié… ou effacé.
Peu de choses ont transpiré du culte de Mithra, ou Mehr. Cette religion initiatique, confidentielle dans ses plus hauts degrés et réservée à une élite, savait garder ses secrets. Ce que nous en savons concerne surtout le mithraïsme romain, version latinisée d’une religion orientale, et différente sous de nombreux aspects du culte originel.
Mehr est un dieu né en Iran, dans la chaîne du Zagros, cette barrière acérée où s’achève la Mésopotamie. Dieu difficile à débusquer, ayant porté un autre nom à l’origine, puis quelques autres ensuite. Un nom facile à retenir, exprimant par sa prononciation un dieu viril, voire agressif, foncièrement masculin. Un de ces noms du premier langage de l’humanité, monosyllabiques, vibrants, percutants.
Sa première mention remonte à 1340 avant notre ère. Il est né dans une grotte, un 25 décembre, fut entouré par des bergers, une étoile guida les rois mages, il accomplit des miracles, un sacrifice, s’envola vers les cieux… et l’Histoire l’a oublié… ou effacé.
Peu de choses ont transpiré du culte de Mithra, ou Mehr. Cette religion initiatique, confidentielle dans ses plus hauts degrés et réservée à une élite, savait garder ses secrets. Ce que nous en savons concerne surtout le mithraïsme romain, version latinisée d’une religion orientale, et différente sous de nombreux aspects du culte originel.