Dans ce nouvel ouvrage, Alain Galatis ne témoigne plus d’un cheminement possible de l’individu vers l’unité du réel mais reconnaît l’évidente primauté de celle-ci. Explorant les multiples facettes, souvent paradoxales, d’un tel changement de perspective, l’auteur se confronte à un obstacle principal : comment considérer le mal et la souffrance face à l’unité ? Une telle position l’amène également à une remise en question radicale du travail jusque-là accompli. Il n’y a jamais eu d’individus et le passage du fini à l’infini fut également un leurre. Seule existe l’union du monde. Seule existe la pure fusion amoureuse de ce qui est. Seul existe le réel qui est amour.
Dans ce nouvel ouvrage, Alain Galatis ne témoigne plus d’un cheminement possible de l’individu vers l’unité du réel mais reconnaît l’évidente primauté de celle-ci. Explorant les multiples facettes, souvent paradoxales, d’un tel changement de perspective, l’auteur se confronte à un obstacle principal : comment considérer le mal et la souffrance face à l’unité ? Une telle position l’amène également à une remise en question radicale du travail jusque-là accompli. Il n’y a jamais eu d’individus et le passage du fini à l’infini fut également un leurre. Seule existe l’union du monde. Seule existe la pure fusion amoureuse de ce qui est. Seul existe le réel qui est amour.