"L’être humain ne s’intéresse pas à ce qui est. Il préfère le monde fantasmagorique de son imaginaire. Astuce suprême pour ne pas être dérangé, il décrète que cette rêverie est la réalité.
Le tour est joué ! Plus besoin d’un questionnement en profondeur : nous possédons déjà toutes les réponses.
Ce choix n’est évidemment pas le fruit du hasard. Vivant sous l’emprise d’un monde illusoire et l’identifiant au réel, il nous est extrêmement difficile et douloureux d’en reconnaître le caractère fictif.
Dommage ! En refusant de nous confronter à cette question de la réalité, nous déclinons également la possibilité d’acquérir un comportement lucide et responsable tel que l’exigerait notre condition humaine et dont la société a cruellement besoin."
"L’être humain ne s’intéresse pas à ce qui est. Il préfère le monde fantasmagorique de son imaginaire. Astuce suprême pour ne pas être dérangé, il décrète que cette rêverie est la réalité.
Le tour est joué ! Plus besoin d’un questionnement en profondeur : nous possédons déjà toutes les réponses.
Ce choix n’est évidemment pas le fruit du hasard. Vivant sous l’emprise d’un monde illusoire et l’identifiant au réel, il nous est extrêmement difficile et douloureux d’en reconnaître le caractère fictif.
Dommage ! En refusant de nous confronter à cette question de la réalité, nous déclinons également la possibilité d’acquérir un comportement lucide et responsable tel que l’exigerait notre condition humaine et dont la société a cruellement besoin."