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TOUS LES TITRES

Honorer les ancêtres et se souvenir de nos morts

Auteur : DUBAN Caroline
Editeur : TREDANIEL
Nombre de pages : 355
Date de parution : 03/03/2022
Forme : Livre ISBN : 9782361884642
9782361884642

NEUF Normalement disponible sur commande
Prix : 32.90€

Dans l´Histoire des hommes, depuis Néandertal jusqu´à nos jours, il n´existe pas une mort, mais une multitude de façon de disparaître physiquement, socialement, mémorielle ment, symboliquement, chamaniquement et artistiquement... C´est le propos de cet ouvrage richement documenté et magnifiquement illustré.
Saviez-vous que les Romains pensaient que la mort était une souillure qui touchait la famille du défunt, que les rituels funéraires devaient permettre à celle-ci de revivre socialement et au mort de ne pas hanter les vivants ? Saviez-vous que les Parsis d´Inde refusent l´inhumation, l´immersion et l´incinération parce qu´ils considèrent le corps mort impur au point de ne pas vou loir entacher ces éléments primordiaux ? Saviez-vous encore que les funérailles traditionnelles basques gardaient une forte prégnance païenne dont le maître de cérémonie était une femme, la benoîte, jusqu´à ce que la dernière expire en 1991, à l´âge de 85 ans ? Avez-vous déjà entendu parler du nécrophone, cet instrument formidable que Thomas Edinson conçut afin d´enregistrer la voix des morts, un ancêtre de la pratique moderne de la Trans-communication instrumentale ? Les momies tibétaines sokushinbutsu vous inspirent-elles crainte ou fascination ?
Dans l´Histoire des hommes, depuis Néandertal jusqu´à nos jours, il n´existe pas une mort, mais une multitude de façon de disparaître physiquement, socialement, mémorielle ment, symboliquement, chamaniquement et artistiquement. De même, il n´existe pas une mort, mais de nombreux visages qui la rendent moins effrayante et plutôt joyeuse comme la Catrina mexicaine, parfois sulfureuse telle Maman Brigitte dans le vaudou, affreuse et torturée comme la pauvre Izanami japonaise... Il y en a tant qu´il est impossible de toutes les observer, mais à travers les siècles et les cultures évoquées dans cet ouvrage, vous pénétrerez dans un monde peuplé de souvenirs et de monuments laissés par nos ancêtres à tra vers leurs écrits, leurs secrets enfouis sous terre et leurs monuments qui interpellent. César rap porte que les druides enseignaient à leurs élèves qu´un dieu tout-puissant les façonnait pour les renvoyer sur terre après leur mort. Promesse de réincarnation, d´évolution spirituelle auprès des dieux, retour au néant ou à une source originelle étincelante, que se passe-il après la mort ? Les peuples du monde et les évolutions au fil des siècles ont décrit des phénomènes intangibles que seul le croyant peut matérialiser sur terre. Et si la véritable mort était l´oubli ? En ce cas, puissent ces lignes ouvrir un portail vers un infini aussi mystérieux que le sont les trous noirs de notre espace.
Franchirez-vous le pas ?


Dans l´Histoire des hommes, depuis Néandertal jusqu´à nos jours, il n´existe pas une mort, mais une multitude de façon de disparaître physiquement, socialement, mémorielle ment, symboliquement, chamaniquement et artistiquement... C´est le propos de cet ouvrage richement documenté et magnifiquement illustré.
Saviez-vous que les Romains pensaient que la mort était une souillure qui touchait la famille du défunt, que les rituels funéraires devaient permettre à celle-ci de revivre socialement et au mort de ne pas hanter les vivants ? Saviez-vous que les Parsis d´Inde refusent l´inhumation, l´immersion et l´incinération parce qu´ils considèrent le corps mort impur au point de ne pas vou loir entacher ces éléments primordiaux ? Saviez-vous encore que les funérailles traditionnelles basques gardaient une forte prégnance païenne dont le maître de cérémonie était une femme, la benoîte, jusqu´à ce que la dernière expire en 1991, à l´âge de 85 ans ? Avez-vous déjà entendu parler du nécrophone, cet instrument formidable que Thomas Edinson conçut afin d´enregistrer la voix des morts, un ancêtre de la pratique moderne de la Trans-communication instrumentale ? Les momies tibétaines sokushinbutsu vous inspirent-elles crainte ou fascination ?
Dans l´Histoire des hommes, depuis Néandertal jusqu´à nos jours, il n´existe pas une mort, mais une multitude de façon de disparaître physiquement, socialement, mémorielle ment, symboliquement, chamaniquement et artistiquement. De même, il n´existe pas une mort, mais de nombreux visages qui la rendent moins effrayante et plutôt joyeuse comme la Catrina mexicaine, parfois sulfureuse telle Maman Brigitte dans le vaudou, affreuse et torturée comme la pauvre Izanami japonaise... Il y en a tant qu´il est impossible de toutes les observer, mais à travers les siècles et les cultures évoquées dans cet ouvrage, vous pénétrerez dans un monde peuplé de souvenirs et de monuments laissés par nos ancêtres à tra vers leurs écrits, leurs secrets enfouis sous terre et leurs monuments qui interpellent. César rap porte que les druides enseignaient à leurs élèves qu´un dieu tout-puissant les façonnait pour les renvoyer sur terre après leur mort. Promesse de réincarnation, d´évolution spirituelle auprès des dieux, retour au néant ou à une source originelle étincelante, que se passe-il après la mort ? Les peuples du monde et les évolutions au fil des siècles ont décrit des phénomènes intangibles que seul le croyant peut matérialiser sur terre. Et si la véritable mort était l´oubli ? En ce cas, puissent ces lignes ouvrir un portail vers un infini aussi mystérieux que le sont les trous noirs de notre espace.
Franchirez-vous le pas ?