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BLONDEL Jean-François La Cathédrale, Bible vivante. Sa construction, ses légendes, ses mystères (édition revue et augmentée) Librairie Eklectic

La Cathédrale, Bible vivante. Sa construction, ses légendes, ses mystères (édition revue et augmentée)

Auteur : BLONDEL Jean-François
Editeur : ART ROYAL Editions (EAR)
Nombre de pages : 292
Date de parution : 01/10/2020
Forme : Livre ISBN : 9782957115648
ARTROYAL02

NEUF habituellement en stock
Prix : 24.00€

Dans les dix dernières années, nos connaissances sur la construction des cathédrales ont été transformées par la reconnaissance numérique et le laser. On sait ainsi désormais que les arcs-boutants des premières cathédrales ont été rajoutés quelques décennies après la construction du cœur et des verrières pour éviter leur effondrement. Ce sont ces connaissances nouvelles que J.-F. Blondel nous apporte dans ce livre qui révèle aussi quelques secrets des architectes cachés sous forme d´énigmes sur leurs pierres tombales.

L´âge d´or des cathédrales se situe aux XIIe et XIIIe siècles. C´est avec l´abbé Suger, le conseiller des rois capétiens Louis VI et Louis VII, que « l´art gothique » va permettre à la cathédrale de s´ouvrir sur le monde extérieur en y déversant la lumière au sein de la nef et du chœur, tandis que dans la poussière des chantiers sacrés, les maîtres d´œuvre élèveront les voûtes d´ogive toujours de plus en plus haut. Cependant, des travaux scientifiques récents montrent que la plupart des nos « vieilles dames de pierre » ne seraient plus debout aujourd´hui, si les bâtisseurs n´avaient fait appel aux artisans du fer qui, très ingénieusement, insérèrent le métal dans la pierre pour augmenter sa résistance aux pressions s´exerçant de toutes parts et qui menaçaient la stabilité de l´édifice.

Fascinés par cette « épopée des cathédrales », les hommes firent appel au merveilleux et au surnaturel pour expliquer ce qu´ils voyaient d´étrange dans ces œuvres grandioses. Ne disait-on pas qu´anges et démons avaient leur part dans la construction ? Pourquoi les cathédrales sont-elles toutes des « Tours inachevées » ?

Les cathédrales seraient-elles des « Demeures philosophales » ? C´est du moins ce que l´on serait en droit de penser à la vue de ces étranges médaillons et figures hiéroglyphiques, qui semblent vouloir expliquer au promeneur qui les contemple, les étapes du « Grand Œuvre » des alchimistes ?

 


Dans les dix dernières années, nos connaissances sur la construction des cathédrales ont été transformées par la reconnaissance numérique et le laser. On sait ainsi désormais que les arcs-boutants des premières cathédrales ont été rajoutés quelques décennies après la construction du cœur et des verrières pour éviter leur effondrement. Ce sont ces connaissances nouvelles que J.-F. Blondel nous apporte dans ce livre qui révèle aussi quelques secrets des architectes cachés sous forme d´énigmes sur leurs pierres tombales.

L´âge d´or des cathédrales se situe aux XIIe et XIIIe siècles. C´est avec l´abbé Suger, le conseiller des rois capétiens Louis VI et Louis VII, que « l´art gothique » va permettre à la cathédrale de s´ouvrir sur le monde extérieur en y déversant la lumière au sein de la nef et du chœur, tandis que dans la poussière des chantiers sacrés, les maîtres d´œuvre élèveront les voûtes d´ogive toujours de plus en plus haut. Cependant, des travaux scientifiques récents montrent que la plupart des nos « vieilles dames de pierre » ne seraient plus debout aujourd´hui, si les bâtisseurs n´avaient fait appel aux artisans du fer qui, très ingénieusement, insérèrent le métal dans la pierre pour augmenter sa résistance aux pressions s´exerçant de toutes parts et qui menaçaient la stabilité de l´édifice.

Fascinés par cette « épopée des cathédrales », les hommes firent appel au merveilleux et au surnaturel pour expliquer ce qu´ils voyaient d´étrange dans ces œuvres grandioses. Ne disait-on pas qu´anges et démons avaient leur part dans la construction ? Pourquoi les cathédrales sont-elles toutes des « Tours inachevées » ?

Les cathédrales seraient-elles des « Demeures philosophales » ? C´est du moins ce que l´on serait en droit de penser à la vue de ces étranges médaillons et figures hiéroglyphiques, qui semblent vouloir expliquer au promeneur qui les contemple, les étapes du « Grand Œuvre » des alchimistes ?